La vie des écureuils
Que mangent les écureuils ?
Ils mangent des noisettes, des noix, des glands etc.,
Que sait faire l’écureuil ?
Comment sont les bébés écureuils ?
Loris et Kévin (Lucie Aubrac, Saint-Rémy)
Journal Collaboratif – éditions archivées
Projet inter-classes de Saône-et-Loire – archives
Ils mangent des noisettes, des noix, des glands etc.,
Loris et Kévin (Lucie Aubrac, Saint-Rémy)
« Moi qui ai fait l’article, je me suis bien marré surtout pour le paragraphe de la finale. Pardon aux fans de Ronaldo. » (Sacha de Lucie Aubrac)
« Comme l’a dit Sacha, pour jouer la comédie et sauter partout, il sait y faire. Les bleus ont fait un très beau parcours. J’étais super content quand la France a gagné contre l’Allemagne. » (Marvin de Lucie Aubrac)
« La France a fait un beau parcours, ils se sont bien battus. L’équipe de France a découvert de nouveau talents comme : Antony Martial; Dimitri Payet … » (Timothée de Lucie Aubrac)
(Roger Judenne)
La couverture du livre (source Amazon)
Timothée ( Lucie Aubrac, Saint-Rémy)
Les premiers hommes qui ont pêché sont les hommes préhistoriques.
L’ancêtre du poisson est le poisson!
Le plus gros poisson du monde est le requin baleine.
Les poissons à moustache sont les poissons chats et les silures.
Les centres pour pêcher sont : la Saône, les étangs, les mers et les rivières.
Il existe des écoles de pêche.
Les leurres sont faits en bois, en métal et en plastique.
Pour pêcher, on marque l’argent sur la carte de pêche.
Une canne a pêche coûte 34,90€ et les asticots coûtent 1, 90€, une carte de pêche coûte 71€.
Paul J – Mathis L
Défis sciences : les légumineuses
Et grâce à elles, ça a marché !
défi n°1 : 2016 – Année internationale des légumineuses
Nous avons dû répondre à un quiz rigolo.
Le quiz ici
défi n°2 : Quelle partie des plantes mange-t-on ?
Nous avons vu quelle partie des légumes il fallait manger : la racine, la tige, les feuilles, …
défi n°3: Comment réussir à créer un jardin ?
On a dû mettre les fruits et légumes qui allaient ensemble dans le même jardin (c’était des mini jardins en papier).
défi n°4: Salade de fruits, jolie jolie…
Nous avons regardé une vidéo et nous avons compris qu’il fallait manger des fruits et des légumes de saison pour ne pas trop polluer la terre.
La vidéo ici
défi n°5: Comment les graines voyagent-elles ?
On a appris comment les graines voyagent et se sèment ailleurs.
Par ici pour la démonstration
défi n°6 : La plus grosse graine du monde
Vous savez que la plus grosse graine au monde s’appelle …
Vous allez beaucoup rire !!!
défi n°7 : L’apport nutritionnel des légumineuses
On a dû faire un repas équilibré pour toute la journée.
défi n°8 : Les légumineuses dans les plats d’ici et d’ailleurs
Vous allez apprendre d’où viennent certains plats comme le cassoulet ou le couscous.
Mathéo et Lætitia (Lucie Aubrac, Saint-Rémy)
Mercredi 10 janvier 2017, Madame le maire a reçu les élèves de CM1/CM2 de Lucie Aubrac dans la salle du conseil municipal.
Les apprentis journalistes lui ont posé des questions personnelles et professionnelles.
Ensuite, ces écoliers chanceux ont visité la mairie pour en savoir plus sur le rôle de maire.
Le maire de Saint-Rémy, Florence Plissonnier a l’air très gentille. Elle a accueilli les élèves avec un grand sourire qu’elle a gardé toute la matinée.
Cette femme , petite par la taille mais grande par son rôle, aura bientôt 55 ans.
Les habitants de cette jolie petite ville la connaissent tous en tant que maire, mais elle est aussi infirmière libérale. Pour assurer son rôle et son métier, elle travaille à mi-temps ( une semaine sur deux). Madame le maire a deux filles qui sont grandes. Pour gérer les deux, elle a appris à son mari à faire les courses et à cuisiner !
Pendant l’entretien, le maire de la commune a parlé beaucoup et très vite , répondant souvent à 2 questions en même temps sans le savoir.
Mais elle articulait bien , expliquait très précisément et a répondu a l’intégralité de nos 31 questions avec honnêteté et sans nous mettre en difficulté.
Madame le maire a été élue en mars 2014 et elle peut rester maire pendant 6 ans. Elle a été choisie par les conseillers municipaux . Florence Plissonnier a eu envie d’être maire pour faire bouger la ville , savoir où allait l’argent des impôts et pour mener ses projets. Par exemple, elle avait vu un parc abandonné qu’elle voulait réhabiliter et pour lequel elle avait des projets . Madame le maire va sûrement se représenter à la prochaine élection. En revanche, elle ne pense pas du tout à la présidentielle.
Madame le maire passe 2 ou 3 heures à la mairie quand elle fait infirmière et 8 ou 9 heures quand elle ne travaille pas.
Pendant ses journées, elle signe des courriers, elle prépare les mariages pour le samedi, elle signe les parapheurs, elle prépare les réunions avec les adjoints qui travaillent pour faire avancer la commune.
Énormément de personnes travaillent pour la commune.
Une centaine d’agents sont au service de la commune dans le service technique, le service des sports, le service administratif, l’Escale, la cantine, la garderie, …
Les 22 conseillers municipaux servent à préparer les réunions pour, par exemple :la journée écocitoyenne, les vernissages, les expositions, …
Madame le maire doit faire régner l’ordre et la sécurité sur sa commune.
Par exemple, pour les attentats, la première magistrate de la commune a mis les drapeaux en berne et a donné le signal du plan Vigipirate sur sa commune.
Pour les dégradations, il faut attraper les personnes responsables mais ce n’est pas facile parce qu’ils faudrait pouvoir les prendre en flagrant délit. Elle peut régler une dizaine d’incidents par semaine.
Madame le maire est venue dans l’école Lucie Aubrac quand des lattes de bois sont tombées du plafond pour voir si personne n’était en danger et pour décider des réparations.
Madame le maire doit administrer la commune.
Elle s’occupe des écoles de Saint Rémy en gérant le matériel scolaire , en veillant sur les bâtiments et en allant aux conseils d’école .
La mairie dispose de 12 millions d’euros !
Avec cette somme, elle prévoit de :
– rénover l’école Henri Clément ( le mobilier, les peintures, les sols, …)
– elle veut également réhabiliter le parc du musée de l’école ( en désherbant tout le parc et prolongeant la voie verte)
– et aussi de refaire entièrement la salle Georges Brassens.
Voici quelques projets peu coûteux qu’elle fait avec joie pour le bonheur des San-Rémois :
Pour noël, l’élue de la commune a acheté un magnifique sapin gigantesque qu’elle a disposé devant la mairie.
Elle a aussi mis en place le marché le samedi matin.
Pour les San-Rémois, Madame le maire a fait installer des cabanes à lire. Les habitants peuvent ainsi échanger leurs livres qu’ils ne veulent plus et en retour en prendre d’autres gratuitement.
Elle a mis à disposition des San-Rémois des jardinières en pierre garnies de plantes aromatiques ( du thym, du persil, du romarin, de la ciboulette, …) .
Madame Plissionnier trouve son rôle compliqué suivant les jours car il faut travailler beaucoup et longtemps pour gérer la ville et aider les San-Rémois .
Mais ce qu’elle aime dans sa fonction, c’est :
– les réunions efficaces pour Saint Rémy et pour le Grand Chalon
– aider les San-Rémois en essayant que ça coûte le moins cher possible.
Madame le maire fait effectivement des réunions une fois par mois avec d’autres maires ( 35 représentants) pour : d’autres projets pour Saint-Rémy et pour le Grand Chalon.
La question où elle a eu la plus de mal à répondre a été : « Quels sont vos rôles principaux en tant que maire ? Attention , vous avez le droit à seulement trois phrases ! »
Elle a réussi le défi :
Son rôle est de faire régner l’ordre, de gérer la commune et d’assurer les services publiques.
Madame le maire fait des réunions avec d’autre maires (35 représentants) une fois par mois pour d’autres projets pour Saint-Rémy et pour le Grand Chalon.
Madame le maire aime sa fonction : « On peut y prendre plaisir malgré les petites difficultés rencontrées ».
Ce qu’elle préfère, ce sont les réunions pour les projets. Par contre, ce qu’elle aime moins , ce sont les longues réunions inefficaces , les démarches pour la campagne électorale, faire des déplacements uniquement pour se faire prendre en photo, …
A la fin, elle a demandé aux jeunes journalistes quels ont été les changements qu’ils avaient remarqués depuis son arrivée. Et elle a été satisfaite de leurs réponses ( le sapin de Noël sur la place de la mairie, le marché, la journée écocitoyenne, la cabane à lire, etc.).
Elle était ravie de leurs réponses et les journalistes , enchantés pour sa façon d’expliquer .
Ce fut une excellente matinée.
Les élèves de la classe de CM1/CM2 de Lucie Aubrac à Saint-Rémy
Présentés en vidéo par les élèves :
Ecole d’Oslon
Lors des élections présidentielles, nous avons souvent entendu parler de remettre l’uniforme à l’école. Nous nous sommes donc interrogés sur l’histoire de cet uniforme, les arguments « pour ou contre »…
Quel uniforme ?
Les uniformes de garçons sont généralement composés d’un pantalon sombre, ou souvent d’une culotte courte ou de bermudas, associés à une chemise claire et à une cravate, auxquels on ajoute une veste par temps froid.
Les uniformes de filles peuvent être composés d’une cravate, d’une jupe ou un kilt, et un chemisier.
L’uniforme dans le monde
En Irlande, au Japon, au Cambodge, en Corée du Sud et au Royaume-Uni par exemple, l’uniforme est obligatoire.
En Allemagne, les uniformes scolaires étaient courant avant la Seconde Guerre mondiale, mais depuis, ils ont été presque complètement abandonnés car ils étaient directement associés à l’enrôlement nazi.
Dans beaucoup de pays, l’uniforme est surtout de rigueur dans les écoles privées, les écoles catholiques…
Dans les faits, la tradition actuelle est plutôt au code vestimentaire plutôt qu’à l’uniforme : pas de jupe courte, de short, de débardeurs…
Historiquement, le port de l’uniforme n’a jamais été obligatoire dans l’enseignement public, excepté avant 1968, où il s’agissait d’une blouse, mais seulement à l’école primaire et secondaire. Il était cependant très courant dans les écoles privées.
Depuis 1968, les établissements scolaires de France, à quelques rares exceptions près, n’imposent plus d’uniforme. Cependant, la présence de problèmes de « guerre des marques » ou de racket fait du port de l’uniforme un sujet de débat récurrent.
Arguments POUR Arguments CONTRE
– la laïcité : le port d’un uniforme permet de masquer les signes vestimentaires d’appartenance religieuse.
– une meilleure intégration des élèves, ceux-ci ne pouvant plus se définir en fonction des vêtements qu’ils portent, à partir des marques vestimentaires, etc. Cela permettrait également d’éviter que les élèves n’ayant pas les moyens de posséder ces marques ou ne respectant pas les codes vestimentaires de la mode soient exclus.
– porter les couleurs d’un établissement scolaire, faisant d’eux des ambassadeurs de l’établissement à l’extérieur, et renforçant ainsi l’unité des élèves en créant un sentiment d’appartenance.
– une influence directe sur le comportement des enfants ; le port d’un uniforme strict permettrait ainsi d’obtenir un meilleur comportement, du fait de l’image que l’uniforme renvoie des enfants vis-à-vis des autre – rapprochement de l’école du fonctionnement d’un corps militaire. Certains n’hésitent pas à parler d’« embrigadement de la jeunesse Imposant une tenue vestimentaire aux jeunes, il restreint l’expression de la personnalité.
– l’uniforme scolaire ne prépare pas les enfants à la vie dans le monde « extérieur », où l’uniforme n’existe plus. Notamment, cela ne préparerait pas les enfants à l’acceptation de la différence.
– coûte cher
– incommode (les jupes en hiver, même s’il est parfois autorisé de les porter avec des chaussettes hautes ou des collants) et inconfortable, et pas toujours très seyant.
– l’uniforme n’est pas le même pour les garçons et les filles, ce qui contribue à la séparation des sexes dans la société.
– uniforme inefficace dans la lutte contre les inégalités, l’intégration
Il ne faudrait pas oublier que les premiers concernés sont bel et bien les élèves. C’est donc avec leurs avis qu’il faut débattre…
Les POUR :
– éviter les moqueries
– mettre tout le monde sur le même pied d’égalité
– ne pas réfléchir à ce que l’on met le matin
– c’est trop classe, comme dans les films !
Les CONTRE :
– les filles qui ne veulent pas être en jupe
– les élèves qui veulent porter leurs propres vêtements
– des élèves tous habillés pareil, c’est triste
– ça coûte cher et enlèverait des cadeaux de Noël
Et vous, alors, pour ou contre l’uniforme à l’école ?
ECOLE DE JONCY